Recherche & innovation

Recherche & innovation

L’Institut Cochin est un Centre de Recherche biomédicale placé sous la co-tutelle administrative de l’Inserm, du CNRS et l’Université Paris Cité.

L’Institut rassemble environ 650 chercheurs, enseignants-chercheurs, hospitalo-universitaires, personnels techniques (ITA), doctorants, stagiaires ; il accueille 41 équipes labellisées par les tutelles et une dizaine de plateformes technologiques.

L’activité de l’Institut est menée sur le site de l’hôpital Cochin Port-Royal, au sein de 4 bâtiments (Méchain, Gustave Roussy, Faculté de médecine, Cassini).

Les équipes de recherche de l’Institut Cochin mènent une activité de recherche fondamentale et translationnelle autour de 6 axes prioritaires : le cancer, l’immunologie, l’endocrinologie-métabolisme, la microbiologie, la plasticité génétique et cellulaire, et les technologies. Nos chercheurs caractérisent les mécanismes biologiques des principales voies physiologiques et pathologiques, pour la santé humaine.

La localisation de l’Institut Cochin au sein du campus hospitalier Cochin Port-Royal lui permet de bénéficier d’une proximité géographique et intellectuelle avec les services hospitaliers et les équipes médicales de l’hôpital Cochin. Cette proximité favorise les collaborations et le développement de réseaux locaux, nationaux et internationaux de recherche translationnelle.

Plusieurs équipes de recherche au sein de l’Institut Cochin, sont dirigées ou co-dirigées par des chercheurs hospitalo-universitaires. Yannick Allanore, directeur adjoint médical de l’Institut coordonne les interactions entre l’Institut et l’hôpital.

Rendez-vous sur le site internet de l’institut Cochin

Ce DHU rassemble des équipes cliniques, des laboratoires et des structures de recherche pour progresser dans la connaissance et la prise en charge des grandes pathologies périnatales qui ont des conséquences chez la mère ou l’enfant.

Il a été créé en 2012, suite à un appel d’offre organisé par l’AP-HP en 2011. Huit DHU sur 37 candidats ont été créés et labellisés par l’INSERM, les universités et l’AP-HP.

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Le DHU « Risques et grossesse » rassemble des équipes pour progresser dans la connaissance et la prise en charge des grandes pathologies périnatales qui ont des conséquences chez la mère ou l’enfant :

  • La prématurité,
  • Les pathologies vasculaires de la grossesse (pré-éclampsie, retard de croissance intra utérin),
  • Les pathologies liées aux infections et à l’inflammation,
  • Les pathologies liées à la précarité quelle qu’en soit la cause (conditions socio-économiques, addictions etc.),
  • La pharmacologie périnatale.

Quatre centres périnataux du DHU (Cochin-Port Royal, Louis Mourier, Bichat et Beaujon) regroupent 80 médecins et 170 sages-femmes qui réalisent plus de 13.000 naissances annuelles. A ces structures cliniques s’associent des services de biologie hospitalière dont 20 % de l’activité est dédiée à la périnatalité. En outre, 85 internes et 325 externes sont formés chaque année dans ces structures hospitalo-universitaires. Les enseignants de ces équipes dirigent de nombreuses formations dédiées à la périnatalité (DES de Gynécologie-Obstétrique, nombreux DU et DIU, Ecole de Sages-femmes). Enfin, le DHU associe huit équipes de recherche reconnues sur le plan international, regroupant 92 chercheurs statutaires et 15 chercheurs contractuels. Ces équipes forment 50 doctorants (PhD) et sont d’un apport décisif pour la formation à la recherche des cliniciens. Enfin, deux Centres d’investigation clinique (CIC) permettent d’apporter un soutien logistique essentiel à la recherche translationnelle du DHU.

Une tradition ancienne de recherche expérimentale, épidémiologique et clinique dédiée aux pathologies de la mère et de l’enfant existe sur le site Cochin. La création du DHU permet de mieux structurer les collaborations existantes et de les élargir à d’autres équipes, en particulier sur la pathologie infectieuse et inflammatoire, la pharmacologie périnatale et l’évaluation de la précarité et de ses conséquences.

Chacun des axes de recherche développés bénéficie d’une dimension diagnostique, pronostique (développement de nouveaux biomarqueurs) et thérapeutique (thérapeutiques déjà utilisées ou nouvelles en termes d’efficacité que de toxicité) en s’appuyant sur des structures de recherche clinique (CIC) et épidémiologique (U953) dédiées.

Le DHU « Risques et grossesse » rassemble ainsi plusieurs atouts pour dynamiser la recherche et les collaborations avec des partenaires industriels :

  • La femme enceinte et le nouveau-né sont des enjeux majeurs de santé publique
  • L’industrie est peu impliquée dans le domaine périnatal alors que les besoins sont immenses.
  • Les équipes du pôle de biologie et les laboratoires partenaires, possèdent l’infrastructure et la maitrise les technologies les plus avancées permettant de mettre au point et de valider en situation clinique de nouveaux biomarqueurs, de nouveaux outils diagnostics.
  • Les deux équipes de pharmacologie périnatale et pédiatrique ont une expertise unique pour tester de nouveaux médicaments chez la femme enceinte et le nouveau-né.
  • Les deux CIC sur le site de Cochin permettent de mettre en place rapidement des essais cliniques.
  • Le DHU bénéficie de la plus grosse unité d’épidémiologie française dédiée à l’étude des pathologies de la mère et de l’enfant
  • Enfin, les équipes périnatales permettent d’une part de poser les questions pertinentes rencontrées en pratique clinique, et d’autre part de rassembler rapidement des cohortes de patients.

Les problèmes éthiques et organisationnels liés à la réalisation d’essais chez la femme enceinte et le nouveau-né ont jusqu’alors limité l’implication de l’industrie pharmaceutique dans le développement de tests ou de traitements dans cette population à risque. Le DHU est à même de lever ces freins d’une part en apportant une expertise médicale et épidémiologique unique dans tous les domaines de la périnatalité et d’autre part en apportant aux partenaires industriels toute l’infrastructure et l’expérience des unités de recherche expérimentale, épidémiologique et clinique dédiées aux pathologies de la mère et de l’enfant.

Lien vers le site du DHU Risques et Grossesse

Organisation DHU Risques et Grossesse

Comité directeur :

  • F Goffinet (Directeur, Gynécologue Obstétricien, Université Paris Descartes, Cochin),
  • L Mandelbrot (Education, Gynécologue Obstétricien, Université Paris Diderot, Louis Mourier),
  • C Poyart (Recherche, Bactériologiste, Université Paris Descartes, Cochin),
  • PH Jarreau (Soins, Néonatologiste, Université Paris Descartes, Cochin),
  • V Tessier (Coordinatrice, Sage-Femme),
  • E Azria (Gynécologue Obstétricien, Université Paris Diderot, Bichat),
  • F Batteux (Immunologue, Université Paris Descartes, Cochin),
  • V. Briant (Médecin épidémiologiste, IRD, UMR 216 – Université Paris Descartes, Faculté de Pharmacie),
  • E Jacqz-Aigrain (Pharmacologue, Université Paris Diderot, Robert Debré),
  • G Kayem (Gynécologue Obstétricien, Université Paris Diderot, Louis Mourier),
  • D Luton (Gynécologue Obstétricien, Université paris Diderot, Beaujon-Bichat),
  • Céline Méhats (Chercheur, Génomique, Epigénétique et Physiopathologie de la Reproduction, Université Paris Descartes, INSERM),
  • V Tsatsaris (Gynécologue Obstétricien, Université Paris Descartes, Cochin),
  • JM Tréluyer (Pharmacologue, Université Paris Descartes, CIC Necker-EM et Cochin),
  • D Vaimant (Génomique, Epigénétique et Physiopathologie de la Reproduction, Université Paris Descartes, INSERM, Institut Cochin).

Le DHU AUToimmune and HORmonal diseaseS « AUTHORS » a profité des restructurations sur le campus de Cochin pour construire un programme complet comprenant soins cliniques, recherche et enseignement. Il se concentre essentiellement sur le diabète, les maladies endocriniennes et les vascularites.

A la fin de l’année 2013, le département d’immunologie-diabétologie de l’université Paris Descartes, un service de médecine interne et 3 laboratoires de l’INSERM ont rejoint les équipes cliniques et de recherche basées sur le campus de Cochin. Ce projet unique sur le campus de Cochin vise à rapprocher les services clinique et de la recherche, afin d’atteindre la masse critique la plus élevée dans leur domaine au niveau national.

Les partenaires cliniques regroupent les laboratoires de diabétologie de l’adulte, d’endocrinologie, de médecine interne, d’obstétrique et de biologie clinique (génomique, immunologie, hormonologie) sur le campus de Cochin, et le département d’endocrinologie-diabétologie pédiatrique de l’hôpital Necker. Le programme clinique adoptera une approche multidisciplinaire des maladies auto-immunes et hormonales.

En effet, celles-ci ont plusieurs caractéristiques en commun : mécanismes pathogènes, chronicité, hétérogénéité sous-estimée, thérapies mal ciblées, et éducation et gestion à long-terme difficiles du patient. L’association des pédiatres et des médecins permettra d’assurer la continuité des soins sur le long terme. L’objectif est d’améliorer les soins apportés au patient en favorisant les projets collaboratifs, en mettant en place de nouvelles procédures de diagnostic et en développant de nouvelles stratégies thérapeutiques. Cet objectif sera poursuivi grâce à des programmes de formation des patients atteints de maladies chroniques, à des consultations multidisciplinaires, à des soins intégrés pour la transition adolescent-adulte, à des plateformes dédiées à la grossesse, à des phénotypages complets des patients pour une meilleure classification des maladies, au développement de cohortes de patients (existants et nouveaux) et à des essais cliniques phase 1 et phase 2.

Les partenaires de recherche font partie du département endocrinologie, métabolisme, diabète de l’institut Cochin. Ils couvrent : le développement et la biologie des cellules β ; l’auto-immunité et inflammation des cellules β ; l’auto-immunité de la paroi artérielle ; la mesure du glucose et la glucotoxicité ; la signalisation de l’insuline et endocrine ; les récepteurs des protéines G et des cytokines ; la bio-énergétique des mitochondries ; les kinases activées par AMP et la mesure de l’énergie. Notre but : tester de nouvelles hypothèses physiopathologiques sur le diabète, les maladies endocriniennes et les vascularites, dans le but d’améliorer la prise en charge quotidienne du patient et la prévention des maladies : identifier de nouveaux biomarqueurs pour améliorer la classification des maladies et la stratification des pronostics ; et promouvoir le développement des stratégies thérapeutiques sur la base physiopathologique. Le développement de nouveaux modèles précliniques sera suivi de leur validation lors d’essais chez l’homme grâce aux cohortes de patients. Cela permet ainsi de réduire l’écart entre la recherche en laboratoire et la pratique clinique au lit du malade.

Le programme éducatif reposera sur l’engagement actuel des scientifiques membres de l’université et de l’INSERM dans l’enseignement des programmes développés à l’université Paris Descartes. Il lancera aussi une formation doctoral Laennec « comprendre la physiopathologie » ainsi que des programmes de formation, dans l’objectif de fournir aux jeunes chercheurs un cadre d’échanges interdisciplinaire entre recherche et investigation clinique.
Des partenariats industriels aideront au développement dans les domaines couverts par le DHU (maladies communes ou modèles) de nouveaux projets précurseurs des défis médicaux, scientifiques, économiques et industriels.

Plus d’informations en cliquant ici.

L’Unité de Recherche Clinique (URC) est une structure de support dédiée à la recherche qui permet d’aider et d’accompagner les médecins pour mener à bien leurs projets de recherche clinique. Elle dépend du Département de la Recherche Clinique et du Développement (DRCD) de l’AP-HP.

3 objectifs

  • aider les investigateurs à toutes les étapes de leurs projets de la rédaction du protocole à la publication,
  • développer en interne des travaux de recherche originaux sur la méthodologie des essais cliniques,
  • développer l’enseignement de la recherche clinique (enseignements théoriques et accueil de stagiaires).

Plus d’informations sur le site internet de l’URC-CIC

Le Centre d’Investigation Clinique Cochin-Pasteur est le seul centre d’investigation clinique français dédié à la recherche en vaccinologie.

Créé et Labellisé en 2005, le CIC Cochin-Pasteur a été évalué et renouvelé en 2013 par l’AERES.

Le CIC Cochin-Pasteur réalise des études cliniques dans le cadre de vaccins préventifs ou thérapeutiques et fait la promotion de nouvelles approches vaccinales issues de la recherche fondamentale.

Le CIC Cochin-Pasteur permet l’exploration de la réponse immunitaire humorale et cellulaire grâce à ses interactions étroites avec une plateforme mutualisée d’immunomonitoring. Localisé dans la bâtiment Lavoisier sur le site Cochin, il dispose de locaux dédiés, équipés aux normes de sécurité en vigueur. Son organisation fait l’objet d’une convention de partenariat entre l’Inserm, l’AP-HP, l’Institut Pasteur et l’Université Paris Descartes et repose sur deux instances : un Conseil Scientifique (organe de décision scientifique) et un Comité Technique (garant de la qualité méthodologique et scientifique et de la sécurité des participants aux recherches).

Au service des chercheurs et des promoteurs institutionnels et privés

Dans le domaine de la vaccinologie, le CIC Cochin-Pasteur a les compétences pour la mise en œuvre des recherches biomédicales depuis l’initiation jusqu’à la valorisation des résultats obtenus :

  • Rédaction des documents de l’étude
  • Coordination et suivi de la recherche dans le respect des Bonnes Pratiques Cliniques
  • Recrutement des participants à la recherche
  • Préparation d’échantillons biologiques (sanguin, muqueux…)
  • Exploitation des données en collaboration avec le service de Biostatistique.

LE CIC Cochin-Pasteur a comme principale mission de promouvoir la recherche et les connaissances en vaccinologie. A ce titre, il est un des membres fondateurs du Réseau national d’investigation clinique en vaccinologie.

Nos coordonnées

CIC Cochin Pasteur (CIC 1417)

Bâtiment Lavoisier – Site Cochin
27 rue du Faubourg St Jacques
75679 Paris cedex 14

Tèl: 01 58 41 28 60
Fax: 01 58 41 29 10

E-mail: secretariat.cic@cch.aphp.fr
Site web: cicvaccinologie.com

Présentation de la Tumorothèque

Créée en 2006, la Tumorothèque est située au sein du service de pathologie de l’hôpital Cochin (Bâtiment Gustave Roussy, 1er sous-sol). Elle y intègre le CRB cancer qui fait  partie de la fédération des CRB de l’APHP.Centre Université Paris incluant les CRB des hôpitaux Necker-Enfant-Malades et  Georges Pompidou.

Cette unité fonctionnelle du pôle Biologie-Pharmacie-Pathologie a pour rôle la collecte, la transformation, le stockage et la mise à disposition d’échantillons biologiques de qualité et des données associées nécessaires à des fins de diagnostic et recherche en cancérologie.

Grâce à ses efforts pour  se conformer aux exigences éthiques et réglementaires, la Tumorothèque a su s’inscrire dans la politique nationale des Centres de Ressources Biologiques (CRB), portée par l’INCa (réseau des tumorothèques) et l’INSERM, et répond ainsi à la définition posée par l’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE).

La Tumorothèque est ainsi membre de l’infrastructure nationale BIOBANQUES (identifiant BB-0033-00023), elle participe également au projet CARPEM (CAncer Research for Personalized Medicine).

1) Les missions et les enjeux

Les ressources biologiques conservées au sein de l’unité fonctionnelle Tumorothèque sont de 2 types :

  • échantillons conservés à des fins diagnostiques et thérapeutiques pour le patient :          « Tumorothèque sanitaire »
  • échantillons conservés pour étudier la physiopathologie de maladies et identifier de nouveaux bio- marqueurs diagnostiques, pronostiques et théragnostiques : « CRB-Cancer»

L’un des enjeux du CRB-Cancer est la réutilisation des échantillons issus de soins (Tumorothèque sanitaire) à des fins de recherche médicale et scientifique, on parle de « re-qualification ». Cette dernière nécessite de nombreux acteurs afin d’assurer l’encadrement légal et éthique (réunion des informations administratives et médicales dé-identifiées, obtention du consentement du donneur) auquel le CRB-Cancer s’est engagé.

En valorisant les collections de ressources biologiques, cette structure joue donc un rôle central en recherche clinique et translationnelle.

L’enjeu principal étant de pouvoir constituer des collections de taille suffisante pour faire avancer la recherche scientifique et médicale, tout en assurant un processus sécurisé et de qualité.

 

2) Fonctionnement du CRB-CANCER-COCHIN

Le Manuel Qualité présente le fonctionnement du CRB-Cancer dans ses missions de recherche et définit les responsabilités et les engagements de toutes les parties intéressées. Il présente les règles de gestion de collections et notamment les conditions de dépôt et conservation des échantillons, ainsi que les règles de mise à disposition.

3) Thématique de recherche et type de ressources 

La Tumorothèque est engagée pour répondre aux axes de recherche en cancérologie sur les secteurs de pathologie:

  • digestifs
  • endocrinologiques
  • gynécologiques
  • des os et des tissus mous
  • urologiques
  • hématologiques
  • dermatologiques
  • thoraciques

Les ressources conservées consistent en des échantillons de tissus normaux et tumoraux, issus de biopsies ou de pièces opératoires, ainsi que des produits dérivés (ADN et ARN).

La Tumorothèque est spécialisée dans l’extraction d’acides nucléiques à partir de tissus congelés mais également à partir d’échantillons tissulaires inclus en paraffine.

Elle offre également un service de contrôle qualitatif et quantitatif des produits dérivés extraits.

L’ensemble des processus (recueil, acheminement, conditionnement, conservation, suivi) est réalisé en conformité avec les bonnes pratiques en Anatomie et Cytologie Pathologiques et selon les recommandations validées par la Haute Autorité de Santé (HAS).

4) Le certificat qualité

Un Système de Management Qualité (SMQ) a été mis en place afin d’assurer la bonne gestion des collections des ressources biologiques, de l’amélioration continue des processus opérationnels jusqu’à la surveillance des besoins des chercheurs et des exigences des partenaires.logo - crb -tumorothèque -cochin

Depuis décembre 2013, le CRB Cancer/Tumorothèque en répondant au respect des obligations légales, réglementaires et éthiques des exigences d’un système de management de la qualité est certifié NF S 969 00.

II. Comment utiliser des collections de la Tumorothèque ?

L’accès aux collections de ressources biologiques nécessite le dépôt d’une demande écrite. Cette demande permettra de réaliser:

  • la consultation du comité scientifique qui doit donner son accord avant toute mise à disposition d’échantillons et de données associées
  • l’étude de faisabilité afin de s’assurer des compétences techniques requises, des capacités de stockage et du circuit des échantillons
  • une estimation financière
  • la rédaction d’un contrat entre le demandeur et la Tumorothèque

Formulaire de demande de ressources biologiques


Information du patient

L’utilisation pour la recherche des prélèvements et données associées issus de patients fait l’objet d’un consentement. Le formulaire de consentement est présenté au patient lors de la consultation, il est libre de poser les questions qu’il souhaite et est informé qu’il peut revenir à tout moment sur sa décision. Il est tout à fait libre de refuser sans que cela n’impacte sa prise en charge ou la relation avec son médecin. Dans le cas où le patient donne son accord, la partie restante de son prélèvement, après diagnostic, pourra être utilisée à des fins de recherche en cancérologie et ce de façon anonyme.

Film à destination du patient « Je deviens acteur de la recherche contre le cancer »

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III. Comment nous contacter ?

 Tumorothèque
Bâtiment Gustave Roussy
Hôpital Cochin

27, rue Faubourg Saint-Jacques
75619 PARIS cedex 14

Téléphone: 01.58.41.32.23
Fax: 01.58.41.32.29

Vos interlocuteurs:

Pr. Benoît TERRIS, Responsable de la Tumorothèque : benoit.terris@aphp.fr
Léa LE LAY, Technicienne Responsable : lea.lelay@aphp.fr